• Le secret du mari

    Cecilia est une épouse et mère de famille modèle et organisée. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes jusqu'à ce qu'elle trouve par hasard une lettre de son mari lui étant adressée, mais à n'ouvrir qu'après sa mort. Quand elle l'appelle pour lui faire part de sa découverte, il assure que ce n'est rien, mais paraît étrange. La curiosité va-t-elle l'emporter sur la confiance en son époux ?

    Passé le premier chapitre, j'ai déjà eu une petite déception, puisque l'on rencontre des personnages dont il n'est pas question dans le résumé. On se demande évidemment leur lien avec l'histoire de Cecilia, et s'il y en a un pour Rachel, le rôle de Tess dans l'histoire reste un mystère pour moi ; alors oui elle est sympathique et on la plaint mais bon, on aurait très bien pu s'en passer. Deuxième déception : le secret lui-même. D'abord, on le découvre bien trop tôt à mon goût, et en plus ce n'était pas une si grande surprise que cela et ce n'est rien de bien élaboré. Par contre, on se questionne beaucoup sur la suite de l'histoire, qu'est-ce que l'auteure nous a réservé pour cette seconde moitié ? Ce qui reste intéressant c'est bien sûr la réaction de Cecilia et sa relation avec son époux. Arrivée à la fin, j'ai envie de dire : beaucoup de mal pour rien. Cependant, l'épilogue m'a beaucoup plu, et là l'auteure m'a surprise.

    Le personnage de Cecilia m'a bien plu, même si cette fâcheuse lettre va un peu plomber sa vie parfaitement organisée. Quant aux autres personnages, je n'ai pas trop réussi à accrocher, même avec Rachel, malgré son chagrin. Sauf un peu avec John-Paul, sûrement parce qu'on le voit du point de vue de sa femme d'abord. C'est le problème avec les romans, je m'attache souvent aux mauvaises personnes. Mais le bien et le mal, ce n'est parfois qu'une question de point de vue.

    Le style reste agréable, ça se lit bien, poussé par le besoin de connaître le fin mot de l'histoire. Le mystère est entretenu, on sent la tension qui règne prête à exploser, malheureusement, j'ai trouvé que cette tension n'était pas bien utilisée pour la suite des événements.

    C'était une lecture agréable mais avec quelques longueurs. Je suis contente de l'avoir lu, et puis ça change que l'auteure soit australienne, mais je ne suis pas sûre d'en garder grand souvenir.


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  • C'est lundi que lisez-vous !

     

    Les 3 questions

     

    1. Qu'ai-je lu la semaine passée ? 

     

    2. Que suis-je en train de lire en ce moment ? 

    3. Que vais-je lire ensuite ?

     

    1. Qu'ai-je lu la semaine passée ?

    C'est lundi que lisez-vous !

     

     

     

     

     

     

     

    2. Que suis-je en train de lire en ce moment ?

     

    C'est lundi que lisez-vous !

     

    3. Que vais-je lire ensuite ?

     

    C'est lundi que lisez-vous !

     


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  • Totto-Chan Au début de ma lecture j’étais très enthousiaste. Le thème des systèmes d’éducation alternatifs m’intéresse depuis de nombreuses années, l’idée de lire un témoignage sous forme de roman me plaisait et j’avais entendu dire beaucoup de bien de ce livre.

     

    Voilà ! Il y a un mais ! Si j’ai trouvé les premiers chapitres très agréables à lire, mon enthousiasme retombait au fur et à mesure que j’avançais dans ma lecture. Ce que je voulais, moi, c’est en apprendre d’avantage sur les méthode éducatives appliquées à Tomoe. Au lieu de cela j’ai eu droit à une succession d’anecdotes insignifiantes sur l’enfance d’une petite fille, fort sympatrique cette petite fille, certes, mais sa vie quotidienne n’en est pas moins inintéressante. L’ennui a commencé à l’installer dès la moitié du roman. Puis, à l’ennui est venu se substituer l’agacement. Le style d’écriture faussement enfantin que j’avais trouvé amusant dans les premières pages commençait franchement à me taper sur le système. Chaque chapitre se termine par un paragraphe qui nous dit à quel point M. Kobayashi était un bon pédagogue. Pourquoi ? Ne somme-nous pas capable de le comprendre par nous-même en lisant l’exemple qui vient tout juste de nous être donné ? Cette répétition d’éloges à fini par me rendre la fin du livre de plus en plus détestable. Non seulement c’est répétitif et cela n’apporte rien de plus au récit, mais surtout cela me donnait le sentiment que l’auteur prends ses lecteurs pour des enfants des 6 ans, incapable de comprendre l’intérêt des méthodes éducatives de M. Kobayashi. Alors je m’interroge : à qui s’adresse ce livre ? A des enfants ou à des adultes ? Quelque soit la réponse, j’ai été franchement déçu par ce livre qui avait pourtant si bien commencé. Il aurait gagné à être réduit de moitié.


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  • C'est lundi que lisez vous !

     

    Les 3 questions

    1. Qu'ai-je lu la semaine passée ? 
    2. Que suis-je en train de lire en ce moment ? 
    3. Que vais-je lire ensuite ?
     
     
     
     
     

    C'est lundi que lisez vous !

    C'est lundi que lisez vous !C'est lundi que lisez vous !

     

     

     

    C'est lundi que lisez vous !

     

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    C'est lundi que lisez vous !C'est lundi que lisez vous !


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  • Tout à la fois roman et livre de développement personnel, suivez Camille sur le chemin de la vie de ses rêves. Débordée par son travail, son couple et son rôle de mère, la trentenaire a perdu sa joie de vivre, mais une rencontre va tout changer... Dans la lignée des livres de Laurent Gounelle, un parcours initiatique touchant, mais aussi un inspirant coaching riche en techniques créatives. Comme Camille, apprenez à enchanter votre vie !

     

     

    Parfois, un titre suffit pour avoir envie de lire un livre. Ce fut le cas quand, un jour, j'ai croisé celui-ci dans une librairie : sans même en avoir lu le résumé, je voulais le lire. Alors, quelle n'a été ma joie de le trouver à la bibliothèque ! J'ai par la suite un peu traîné à le lire mais c'est à présent chose faite et que vous dire, à part qu'à mes yeux, il a tenu toutes ses promesses ! Ce livre fut une superbe lecture, qui permet à la fois de s'évader mais aussi de se questionner et de réfléchir à la vie en général !
     
    Camille est une femme qui a tout dans la vie pour être heureuse : elle a un gentil mari, un enfant adorable, un boulot potable. Malheureusement, elle rumine, ne se sent pas heureuse. Un soir, alors que sa voiture tombe en panne, elle va chercher de l'aide dans une belle maison dans laquelle elle rencontre Claude, un homme qui écoute ses malheurs avant de lui dire qu'il est routinologue et qu'il peut peut-être l'aider à être heureuse.
     
    Par sa tristesse et son envie de retrouver le bonheur, Camille est une héroïne réaliste à laquelle on s'attache rapidement. Dès les premières lignes et jusqu'à la fin, cette trentenaire m'a touchée et emportée dans ses aventures ! Quand elle était heureuse, je partageais sa joie, quand elle allait mal, je ressentais sa peine, et malgré notre différence d'âge, je la comprenais sur certains points. Quand elle parlait de ses rêves qu'elle avait laissé de côté, elle m'émouvait, quand elle apprenait à prendre confiance en elle, elle me réjouissait. Mais surtout, j'ai été admirative tout du long du parcours qu'elle menait, de sa persévérance.
     
    Le principe de ce livre, c'est de mêler livre de développement personnel et roman, une idée à laquelle j'ai vraiment adhérée ! Même si je ne suis pas spécialement le public visé, étant une jeune femme de dix-huit ans et l'héroïne une femme de la trentaine, j'ai été émue par ce livre et il a réussi à quand même m'apporter quelque chose, malgré mon jeune âge. Parce que si certains sujets sont le boulot, le mariage, les enfants, des sujets plus adultes, d'autres sont la confiance en soi, la perception que l'on a de la vie, les rêves, la famille, des sujets qui touchent à tout âge. Alors oui, j'ai pu m'identifier moi aussi à ce récit, mais surtout, j'ai pu « écouter » les conseils de Claude, m'en imprégner, les retenir. Et finalement, ces conseils sont venus chipoter mon inconscient, se loger dans mon esprit, me faire réfléchir à comment moi je vivais ma vie. Et ça m'a fait un bien fou de me prêter au jeu des étapes de Claude pendant quelques centaines de pages.
     
    Pour ce qui est du côté roman, il est vraiment plaisant, on s'attache facilement au lien qui se tisse entre Camille et Claude, leur amitié, tout ce qu'ils vont faire ensemble pour mettre la jeune femme face à ses soucis. J'ai aimé suivre également sa vie de famille, son fils étant adorable, son mari attachant. Et sa vie professionnelle m'a bien plu aussi, le tournant qu'elle prend. Puis, comme je ne peux pas ne pas en parler, il faut que je vous le dise : quelle fin ! Elle est surprenante, assez incroyable et je l'ai adorée !
     
    En bref, ce livre est plus que l'histoire d'une jeune femme qui reprend sa vie en mains. Certes, l'histoire de Camille est passionnante, on s'attache facilement à elle et à son entourage, ainsi qu'à l'amitié qu'elle tisse progressivement avec Claude. Mais finalement, Camille n'est qu'un moyen de véhiculer des messages, sur la confiance en soi, sur la pensée positive, sur l'importance d'être en accord avec soi-même, sur le bonheur tout simplement ! Au cours de sa « thérapie » pour aller mieux, le lecteur est lui aussi amené à réfléchir, à jouer le jeu comme elle, à regarder sa propre vie en face. C'est intense, émouvant, car on est autant le héros que Camille l'héroïne ! En le lisant, je me suis sentie bien, en accord avec moi-même, et si certains sujets m'ont moins parlé, n'étant pas de mon âge, d'autres m'ont beaucoup touchée et fait réfléchir. En le refermant, on n'a qu'une envie : prendre sa vie en main, décider d'aller bien, d'être heureux ! On a le cœur réchauffé par tant d'optimisme, et un sourire, un énorme sourire aux lèvres ! 

     

     

    " L'échelle du bonheur ou du malheur n'est pas la même pour tous. " 

     

    " Que d'amours gâchées alors qu'avec un peu d'effort, elles pourraient repartir de plus belle. Il faut dire
    que, dans notre société hyperconsomatrice, on préfère jeter plutôt que réparer. " 
     
    " Le plus grave, ce n'est pas d'échouer. C'est de ne pas avoir essayé. "
     
     
     

     


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